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La Russie garde son blé et les cours s'envolent
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La Russie garde son blé et les cours s'envolent
Les marchés de matières premières, déjà très nerveux depuis le début de l'été, ont vivement réagi à l'embargo russe sur les exportations de blé, décrété par le Premier ministre, Vladimir Poutine. «Il est compliqué de faire la part entre le prix d'équilibre du marché et ce qui est dû à la spéculation, explique Michel Portier, gérant de la société de conseil Agritel. Ce qui est sûr, c'est que les mouvements sont violents, rapides. Il y a de plus en plus d'acteurs financiers sur les matières agricoles, et le marché surréagit.» Le quasi-doublement des cours en quelques semaines rappelle la flambée de 2007-2008, qui avait démarré avec la sécheresse en Australie et provoqué une crise alimentaire. L'embargo russe «représente un élément d'instabilité sur le marché, la situation est devenue maintenant sérieuse», s'est d'ailleurs inquiété vendredi un expert de la FAO, l'agence de l'ONU pour l'agriculture et l'alimentation. «Si les prix augmentent dans les pays pauvres et à bas revenus, cela causera certainement des problèmes.» Vendredi, un ministre russe a nuancé les annonces de Poutine : l'embargo «pourrait être révisé en fonction des récoltes». Durable. Si le pays suspend ses exportations, c'est d'abord parce qu'il veut garantir sa propre sécurité alimentaire. Les trois quarts de la production servent à nourrir la population et le bétail. Mais la Russie est aussi un important exportateur mondial, le 2e ou le 3e selon les années. «Avec cet embargo, il va manquer 12 à 13 millions de tonnes de blé russe sur le marché par rapport à 2009, explique Michel Portier.
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